Quotes : mangoro |
1838 | Ellis William : History of Madagascar | |
page I.81 | The river Mangoro, from its direction and magnitude, would be well adapted for the conveyance of merchandise betwen the coast and the interior of the island, but for its numerous and rapid falls, which in some places may be considered cataracts; and, though not so large as to deserve notice as objects of curiosity or surprise, render the currents too impetuous for the purpose of navigation. | |
1857 | Pfeiffer Ida : Voyage à Madagascar | |
1857/05/28 page 111 | Nous gravîmes le plateau d'Ankay, où nous trouvâmes d'assez bonnes routes. Aussi notre voyage se fit-il très-rapidement; mais nous perdîmes beaucoup de temps à passer la rivière Mangor. Il n'y avait pour le passage que quelques troncs d'arbres creux, dont chacun pouvait à peine contenir trois ou quatre personnes. Il fallut donc plusieurs heures pour faire passer notre nombreuse suite et tous nos bagages. Les rivières que j'ai vues jusqu'ici à Madagascar, y compris le Mangor, sont parfois très-larges mais n'ont pas de profondeur... Les eaux sont très-peuplées, mais malheureusement moins de poissons que de caïmans. | |
1870 | Sibree James : Madagascar et ses Habitants | |
page 80 | Dans la plus accentuée de ces dépressions de terrain coule rapidement une belle rivière, le Mangoro, large d'environ quarante-cinq mètres au point où nous la traversâmes en bateau. Le Mangoro se jette dans la mer vers le centre de la côte orientale, par une vaste embouchure. Ce fleuve serait une précieuse voie de communication avec la capitale, si son cours n'était pas interrompu par des rapides semés de rochers. | |
1884 | Little Henry (Rev.) : Madagascar, its History and People | |
page 127 | The last place of importance before entering the capital is Amoromanga, a busy town which stands in the centre of a broad and level plain of that name. The Tankay ... occupy the district around and along the basin of the Mangoro river, which flows through the plain. | |
1890 | Catat Louis : Voyage à Madagascar | |
1889 page 92 | Le fleuve a plus d'un kilomètre de largeur ; dans son lit, peu profond, s'étendent de longs bancs de sable que le courant déplace. Sans trop de risques d'échouement, on peut pourtant remonter le Mangoro en pirogue, ainsi que je l'ai fait, jusqu'à 15 ou 16 kilomètres de la mer, en aval de l'île de Nosindrava.... À partir de ce point, la navigation devient très difficile : des rochers et de nombreux îlots mettant obstacle aux eaux produisent des rapides, des tourbillons et de petites chutes. C'est ce qu'on nomme les cascades du Mangoro. | |
1894 | Martineau A : Madagascar | |
page 150 | Après la forêt, le sol s'abaisse subitement d'une centaine de mètres; en même temps commence une grande plaine dominée à sept ou huit heures de marche par une longue chaîne de montagnes, qui paraît inaccessible comme un roc. Cette plaine est celle du Mangour, rivière assez large aux eaux peu profondes, mais que les voyageurs ne peuvent pourtant traverser à gué. | |
1896 | Gravier Gabriel : La Cartographie de Madagascar | |
page 259 | Leguével a vu le cours supérieur de la Mangoro et l'a tracé assez exactement. | |
1897 | Lentonnet (Lieutenant-Colonel) : Carnet de campagne du Lt-Colonel Lentonnet | |
1896/05/21 page 201 | Je passe le Mangoro en pirogue pour 30 centimes. Ce fleuve a cent mètres de large et quatre à cinq mètres de profondeur. On y voit des caïmans. | |
1898 | Grosclaude Et. : Un Parisien à Madagascar | |
page 78 | Andakane, où nous allons coucher, est juchée au sommet d'une falaise sur le Mangoro, large et importante rivière que nous traversons à la tombée de la nuit, dans des pirogues couplées. | |
1900 | Galliéni Joseph (Général) : La Pacification de Madagascar | |
page 203 | Le Mangoro, qui traverse le cercle du nord au sud, est un fleuve d'environ 80 mètres de largeur dans son cours moyen; il prend sa source dans le cercle d'Ambatondrazaka, et va se jeter dans l'océan Indien, au sud de Mahanoro. Il n'est pas navigable sur tout son parcours, mais quelques biefs, compris entre deux rapides, sont pourtant accessibles aux grosses pirogues; le plus important de ces biefs commence à 4 kilomètres au nord d'Andakana et se termine au nord et à 22 kilomètres d'Analabe. Il fut utilisé plus tard pour le ravitaillement des postes de la région. | |
1915 | Sibree James : A Naturalist in Madagascar | |
page 69 | In the deepest of the many valleys which cut the surface of the Ankay plain runs a beautiful and rapid river, the Mangoro, about one hundred and fifty feet wide where we crossed it in canoes. This is the longest river of the east coast, and would make a fine means of access to the interior, were its course not interrupted by rapids and cataracts at many points. | |
1863 page 69 | Looking back after we had reached the summit, there was the Moramanga plain, bounded by the distant forest stretching away north and south, until lost in the dim distance, while below us the Mangoro could be seen in a wavy blue line in the Ankay plain. | |
2001 | Cole Jennifer : Forget Colonialism? | |
page 71 | According to official town history, the Zafimalaone came when three brothers fled from a place called Ampahana, located somewhat to the north near Vatomandry. They swam the Mangoro River and miraculously made it to the other side alive. |